Un paysage urbain est une toute autre chose.
Car il est le résultat de notre histoire et des époques que l’on traverse.
Le résultat de ce que nous, les Hommes, avons créé de nos mains et de ce sur quoi nous avons une influence facile et volontaire.
Parfois simplistes, parfois complexes, parfois calmes ou bruyants.
Parfois si hauts et forts vus du sol, si petits et fragiles vus du ciel.
Parfois construits de terre et de paille, ou bien de béton, de verre et d’acier.
Ils nous rappellent des époques révolues, nous replongent tellement dans le passé qu’on préfère les observer en noir et blanc.
Ils sont pleins de vie, de mouvements et remarquables de par leur architecture qu’on préfère les apprécier en couleurs.
Ils sont connus ou non, prisés ou désertés, mais dans tous les cas, ils ont une identité qui leur est propre, unique.
On a envie de les connaître, et de les faire connaître au monde entier.
Ils ont évolué ou grandi, ils ont été détruits puis reconstruits, et ils ont des fois simplement disparu.
En ce sens, le paysage urbain n’est pas si différent du paysage naturel.
Oui, il est lui aussi sous la responsabilité de l’Homme, et nous pensons qu’il nous appartient.
Mais nous n’en avons pas le contrôle total, et il est bon de se rappeler qu’une vague un peu trop agitée,
ou un vent un peu trop énervé, peuvent facilement l’emporter.
Alors il est aussi important, de lui donner du temps. Prendre le temps de le découvrir, d’aller à la rencontre de ceux qui l’habitent.
Le temps de s’imprégner de la culture qu’on y trouve, d’arpenter tous ses recoins, ses rues et ses monuments.
Et lorsque qu’on pense le connaître, que notre regard s’y est fait, que l’on y a créé quelques souvenirs qui nous suivront jusqu’au bout,
alors vient le moment de se rapprocher un peu du sol, ou bien de prendre un peu de hauteur.
Prendre son appareil, trouver cette composition idéale où lumières et ombres se coordonnent.
Comme pour nous dire que tout est réuni pour que l’on puisse, enfin :
déclencher.
Un paysage urbain est une toute autre chose.
Car il est le résultat de notre histoire et des époques que l’on traverse.
Le résultat de ce que nous, les Hommes, avons créé de nos mains et de ce sur quoi nous avons une influence facile et volontaire.
Parfois simplistes, parfois complexes, parfois calmes ou bruyants.
Parfois si hauts et forts vus du sol, si petits et fragiles vus du ciel.
Parfois construits de terre et de paille, ou bien de béton, de verre et d’acier.
Ils nous rappellent des époques révolues, nous replongent tellement dans le passé qu’on préfère les observer en noir et blanc.
Ils sont pleins de vie, de mouvements et remarquables de par leur architecture qu’on préfère les apprécier en couleurs.
Ils sont connus ou non, prisés ou désertés, mais dans tous les cas, ils ont une identité qui leur est propre, unique.
On a envie de les connaître, et de les faire connaître au monde entier.
Ils ont évolué ou grandi, ils ont été détruits puis reconstruits, et ils ont des fois simplement disparu.
En ce sens, le paysage urbain n’est pas si différent du paysage naturel.
Oui, il est lui aussi sous la responsabilité de l’Homme, et nous pensons qu’il nous appartient.
Mais nous n’en avons pas le contrôle total, et il est bon de se rappeler qu’une vague un peu trop agitée,
ou un vent un peu trop énervé, peuvent facilement l’emporter.
Alors il est aussi important, de lui donner du temps. Prendre le temps de le découvrir, d’aller à la rencontre de ceux qui l’habitent.
Le temps de s’imprégner de la culture qu’on y trouve, d’arpenter tous ses recoins, ses rues et ses monuments.
Et lorsque qu’on pense le connaître, que notre regard s’y est fait, que l’on y a créé quelques souvenirs qui nous suivront jusqu’au bout,
alors vient le moment de se rapprocher un peu du sol, ou bien de prendre un peu de hauteur.
Prendre son appareil, trouver cette composition idéale où lumières et ombres se coordonnent.
Comme pour nous dire que tout est réuni pour que l’on puisse, enfin :
déclencher.
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