La photographie de rue …
Ou le meilleur moyen de se rendre compte de la richesse qu’offre la vie urbaine qui nous entoure.
C’est par ce type de photographie que j’ai commencé à découvrir le plaisir que l’on prend à “immortaliser” des instants de vie. ​​​​​​​ ​​​​​​​
Ces scènes qui passent sous nos yeux mais qu’on ne voit pas toujours pour autant.  
Des scènes si banales au premier abord, mais qui peuvent être finalement pleines de sens lorsque l’on change son regard.
Prendre son appareil et faire de la photo de rue donne cette capacité. 
Celle de composer avec les autres, avec les éléments qui nous entourent, les plus simples soient-ils.
Celle de jouer avec la lumière dans des endroits que l’on fréquente chaque jour, à chaque instant, mais dans des contextes peu attrayants. 
Aller au travail, prendre le métro, attendre le bus, être dans le bruit et le vacarme constant d’une ville.
 Ces moments dont on ressent plutôt l’aspect négatif.
Tout cela change lorsqu’on décide de prendre le temps. Lorsqu’on lève la tête et que l’on observe ce, celles et ceux qui nous entourent. 
L’appareil à la main, et l’ambition de mettre pause sur ce qu’on s’apprête à découvrir.
Alors le vacarme, les klaxons, les moteurs et les conversations téléphoniques deviennent moins agressifs, moins présents. 
Tout autour de nous semble aller moins vite car on ralentit soit-même le rythme sans s’en rendre compte. ​​​​​

.

On voit un groupe d’amis autour d’un café, un couple en balade, une affiche publicitaire envahissante,
cette personne qui promène son chien ou cet homme d’affaires qui prend son taxi.
 Ces touristes en selfie, et ce travailleur qui prend sa pause, cette femme qui a l’air prise par le livre qu’elle tient dans les mains,
ou cette autre personne, plongée dans ses pensées avec une cigarette à la main. ​​​​​​​
Tant d’histoires, tant de messages, de pensées et d’instants. Tant de situations et de cadres différents.
Qu’on ne voit que quand, à nouveau, on décide de prendre le temps.
Personnellement, avoir mon appareil avec moi m’aide à faire cet effort. 
Et c’est un défi quotidien, particulièrement lorsqu’on pratique là où l’on vit.
Car ce qui est génial en photographie de rue, c’est qu’il se passe toujours quelque chose, où que l’on soit..
Quelque chose qui nous donne envie d’avoir son appareil tout le temps avec soit. 
C’est aussi là que les voyages entrent en jeu.

.

J’aime autant découvrir des paysages naturels à couper le souffle
que des villes ou des villages à la culture et à l’architecture si différentes de celles que je connais.
 Car il s’y passe tant de choses. Probablement autant que là où je vis,
mais découvrir un nouvel endroit me permet d’avoir naturellement un regard photographique différent
En voyage, on est nativement dans un état d’observation, dans un état de pause constante, cet état souvent si difficile à avoir dans notre quotidien. 
Oui, il est vrai que dans cette situation, on a souvent l’envie de déclencher à tout va, car tout nous semble intéressant.
Pourtant, très vite, on comprend que le plus intéressant se trouve ailleurs. 
On comprend ce qui fait la valeur de l’endroit où l’on se trouve.
On comprend le fonctionnement qu’ont les personnes locales,
on se sent pris à nouveau par ce qui nous entoure et on cherche alors à se concentrer sur l’essentiel.
 Une seule question se pose : quelles histoires je souhaite emporter avec moi ? ​​​​​​​
Autrement dit, qu’est ce qui, selon moi, m’aidera à retranscrire le regard que j’ai eu durant mon voyage. 
Alors, une fois la réponse trouvée, notre regard devient le bon, et les scènes majeures s’offrent à nous.
Tant de scènes qui nous marquent d’autant plus qu’elles écrivent notre voyage.
 Celles-ci mêmes, prises au détour d’une ruelle, assis à la table d’un café,
lors d’une visite ou sur le principal boulevard d’une capitale.
Ces scènes que l’on a vu parce qu’on a accepté.
Accepté de ralentir
Accepté de s’arrêter
Accepté de prendre le temps 
Accepté de lever la tête
Accepté de regarder et de voir
Accepté d’écouter
Accepté de comprendre et accepté de déclencher
Ces scènes que l’on peut raconter car à défaut de les dire, nous pouvons alors les montrer.
La photographie de rue …
Ou le meilleur moyen de se rendre compte de la richesse qu’offre la vie urbaine qui nous entoure.
C’est par ce type de photographie que j’ai commencé à découvrir le plaisir que l’on prend à “immortaliser” des instants de vie. ​​​​​​​
Ces scènes qui passent sous nos yeux mais qu’on ne voit pas toujours pour autant.  
Des scènes si banales au premier abord, mais qui peuvent être finalement pleines de sens lorsque l’on change son regard.
Prendre son appareil et faire de la photo de rue donne cette capacité. 
Celle de composer avec les autres, avec les éléments qui nous entourent, les plus simples soient-ils.
Celle de jouer avec la lumière dans des endroits que l’on fréquente chaque jour, à chaque instant, mais dans des contextes peu attrayants. 
Aller au travail, prendre le métro, attendre le bus, être dans le bruit et le vacarme constant d’une ville.
 
Ces moments dont on ressent plutôt l’aspect négatif.
Tout cela change lorsqu’on décide de prendre le temps. Lorsqu’on lève la tête et que l’on observe ce, celles et ceux qui nous entourent. 
L’appareil à la main, et l’ambition de mettre pause sur ce qu’on s’apprête à découvrir.
Alors le vacarme, les klaxons, les moteurs et les conversations téléphoniques deviennent moins agressifs, moins présents. 
Tout autour de nous semble aller moins vite car on ralentit soit-même le rythme sans s’en rendre compte. ​​​​​

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On voit un groupe d’amis autour d’un café, un couple en balade, une affiche publicitaire envahissante,
cette personne qui promène son chien ou cet homme d’affaires qui prend son taxi.
 
Ces touristes en selfie, et ce travailleur qui prend sa pause, cette femme qui a l’air prise par le livre qu’elle tient dans les mains,
ou cette autre personne, plongée dans ses pensées avec une cigarette à la main. ​​​​​​​
Tant d’histoires, tant de messages, de pensées et d’instants. Tant de situations et de cadres différents.
Qu’on ne voit que quand, à nouveau, on décide de prendre le temps.
Personnellement, avoir mon appareil avec moi m’aide à faire cet effort. 
Et c’est un défi quotidien, particulièrement lorsqu’on pratique là où l’on vit.
Car ce qui est génial en photographie de rue, c’est qu’il se passe toujours quelque chose, où que l’on soit..
Quelque chose qui nous donne envie d’avoir son appareil tout le temps avec soit. 
C’est aussi là que les voyages entrent en jeu.
J’aime autant découvrir des paysages naturels à couper le souffle
que des villes ou des villages à la culture et à l’architecture si différentes de celles que je connais.
 
Car il s’y passe tant de choses. Probablement autant que là où je vis,
mais découvrir un nouvel endroit me permet d’avoir naturellement un regard photographique différent
En voyage, on est nativement dans un état d’observation, dans un état de pause constante, cet état souvent si difficile à avoir dans notre quotidien. 
Oui, il est vrai que dans cette situation, on a souvent l’envie de déclencher à tout va, car tout nous semble intéressant.
Pourtant, très vite, on comprend que le plus intéressant se trouve ailleurs. 
On comprend ce qui fait la valeur de l’endroit où l’on se trouve.
On comprend le fonctionnement qu’ont les personnes locales,
on se sent pris à nouveau par ce qui nous entoure et on cherche alors à se concentrer sur l’essentiel.
 
Une seule question se pose : quelles histoires je souhaite emporter avec moi ? ​​​​​​​
Autrement dit, qu’est ce qui, selon moi, m’aidera à retranscrire le regard que j’ai eu durant mon voyage. 
Alors, une fois la réponse trouvée, notre regard devient le bon, et les scènes majeures s’offrent à nous.
Tant de scènes qui nous marquent d’autant plus qu’elles écrivent notre voyage.
 
Celles-ci mêmes, prises au détour d’une ruelle, assis à la table d’un café,
lors d’une visite ou sur le principal boulevard d’une capitale.
Ces scènes que l’on a vu parce qu’on a accepté.
Accepté de ralentir
Accepté de s’arrêter
Accepté de prendre le temps 
Accepté de lever la tête
Accepté de regarder et de voir
Accepté d’écouter
Accepté de comprendre et accepté de déclencher
Ces scènes que l’on peut raconter car à défaut de les dire, nous pouvons alors les montrer.

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